historique
LE CHIFFOU » Petit Maxou a perdu son Chiffou … « |
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PUBLIC : enfants de 2 à 7 ans. TYPE DE LIEU : salle de spectacle, bibliothèque, école, salle des fêtes pouvant être occultée de la lumière. |
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DESCRIPTION : Par un procédé de mise en espace d’images projetées sur un « livre-sculpture », ce spectacle de 45 min propose une histoire poétique et offre un moment de lecture original et surprenant, une approche inhabituelle de l’imaginaire. Les paroles, la musique et les bruitages entourent les enfants et donnent du sens au déploiement de toutes ces images aux couleurs somptueuses et chatoyantes. Celles-ci, conçues comme des vitraux vont et viennent sur les volumes des « livres-sculptures » qui font écran. Elles s’y déforment, s’étirent, disparaissent, animent en douceur les « pages » de ces livres étonnants et créent ainsi un jeu d’effets cinétiques qui captivent le regard. Ce jeu en direct de la projection, de la bande son et de la voix sur un mode interactif, laisse une place aux commentaires des enfants. Un moment d’éveil sensoriel pour les petits spectateurs ! |
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Conception et réalisation : Anne Laurence TERRASSE, Marion MERCIER et Agnès JEANNOT Paroles en direct : Geneviève BURNOD Bande sonore : François RAULIN (jeunes chanteurs : Jeanne DELANEY et Léopold RAULIN) D’aprés une histoire d’Alain Gibert, tirée de ses Contes du Hasard Domestique |
Les Phosphorescentes, impromptus pour eclipses et reflets » …voyant rouge ou vert-jaune, raie bleutée et fluorescente qui semble orienter nos vues, quelques clignotants pour l’annonce d’évènements dont on ne saura rien si ce n’est la beauté fascinante de ces résurgences de lumière. » |
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PUBLIC : tout public. TYPE DE LIEU : salle d’exposition, école, mediathèque, tout espace occulté de la lumière. |
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DESCRIPTION : Une oeuvre plastique et sonore dont les caractéristiques en font tout autant une installation cinétique qu’un spectacle son et lumière intimiste de 45 minutes. Cette création originale organise un lieu où le spectateur peut s’immerger dans un univers visuel phosphorescent et mouvant. Il assiste à la danse fluide d’images lumineuses sur un écran en arc de cercle. Le cinétisme et la beauté des phénomènes optiques, dans leur succession et leur enchevêtrement, captivent le regard. Quatre pièces de musique, créées par quatre compositeurs contemporains, font écho aux multiples transformations des images composées de signes lumineux insolites. Elaborées dans un style graphique épuré et délicat, cet enchaînement d’images évoque une narration abstraite et de nature poétique. L’ensemble (projection et sons) fonctionne en autonomie et en boucle, avec un cycle d’images d’environ 45 min. Prévoir la surveillance du lieu. En interaction avec le jeu optique de la projection d’images, la chanteuse Geneviève Burnod peut proposer des interventions sonores. |
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Conception et réalisation : Anne Laurence TERRASSE, Marion MERCIER Bande son : François RAULIN, Jean-Louis CLOT, Bruno CAPELLE, Laurent BIGOTInterventions musicales et vocales : Geneviève BURNOD Photographies : Sylvie BRAULT Coproduction : 38éme Rugissants et Mois du Graphisme |
Le Bal est phosphorescent Pièce chorégraphique |
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PUBLIC : tout public. TYPE DE LIEU : salle de spectacle avec tapis de danse. |
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Cette création est une coproduction de l’Association Les Phosphorescentes et de la Compagnie Adelante, avec le soutien du Conseil Général de l’Isère, de la Ville de Grenoble et du Centre Chorégraphique National de Grenoble (Jean-Claude Gallotta). DESCRIPTION : d’un contour précis et d’une gestuelle vigoureuse, cette création est une revigorante excursion dans la représentation d’un territoire étrange. Les danseurs, en osmose avec l’étonnante dentelle géométrique de leurs costumes, préfigurent par leurs jeux, entre affrontements et caresses, une dimension où se confondent les règnes animal, vénétal et mécanique. Une vision délicate et chatoyante, rythmée d’apparitions et de disparitions, des tableaux nourris d’ombres et de lumières. Cinétisme et couleur argumentent ce temps dansé où l’émotion et la jubilation de jouer dans cet espace aérien, habité de musiques électroniques, font naître l’idée d’un bal imaginaire. Entre figuration et abstraction, le Bal est phosphorescent … |
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Chorégraphie : Beatriz ACUNA Plasticiennes : Anne Laurence TERRASSE, Marion MERCIER Bande son : Fabrice CATTALANOInterprètes : Deborah SALMIRS, Sylvie HÖNLE, Amandine CROCHET, Rémi JOURDAN Lumières : Peter DELANEY, Jean RAFFORT Photographie : Sylvie BRAULT Visiter le site de la Compagnie Adelante |